Les anecdotes,
souvenirs de la licence…
Mises à part les heures passées chez
Fx, à mater des films ou autres conneries en s’enfilant
des bières le souvenir qui m’aura vraiment agréablement
marqué ce sera déroulé vers la fin de l’année,
à environ un mois du début du stage…
Nous avions passé l’après midi
à jouer au basket sur un terrain en extérieur…
puis nous avions bouffer et vidé quelque bouteilles de Muscador
(J’adore !… non en fait c’est pas très
bon, mais c’est pas cher…) chez Sandrine, ensuite, nous
étions tous invité à passer la soirée
chez Aurélie C.
Arrivé chez cette dernière, la soirée
commence… bières, ti-punch, pastis, sangria, whisky
… on se désaltère.
Ce soir la, Willy était en forme… il avait un rendez
vous pour un stage a 10h00 à Niort le lendemain.
Pourtant, il avait bien commencé à picoler mais rien
de méchant… après peu de temps, j’ai du
ramener Sandrine chez elle, car apparemment les breuvages de la
soirée, ne lui réussissait pas vraiment !
Je m’absente donc (seulement) une demi-heure.
De retour chez aurélie, je retrouve mon Willy
(qui avait tenté de suivre le rythme de Charly) tout blanc
, les cheveux en pétard, affalé sur le canapé…
pour résumer, il n’avait l’air de rien !…
Je trinque avec lui… enfin lui on va dire que lui il essaye
de trinquer … (il a renversé un verre et posé
le second à coté de la table)… puis le laisse
cuver tranquillement
Au bout de quelques minutes, je m’aperçoit
que notre vendéen a disparu depuis un bon moment… je
le cherche à droite .. à gauche… pas de willy…
c’est alors que je me rends compte que les chiottes sont fermés
depuis un bon moment, je tente d’ouvrir, fermé a clé…
j’appel.. personne ne répond.
Alors la je me dis, le pauvre, il s’est peut
être évanouit, il faut absolument sauvez Willy (désolé
!)… je pars chercher un couteau, avec lequel j’ouvre
la porte… et c’est exactement à ce moment la
qu’a lieu mon souvenir.
Je trouve mon Willy, à genoux devant les chiottes,
les mains regroupées, posées sur le devant de la cuvette,
et là, tout doucement (enfin aussi vite qu’il le pouvait
je pense) il lève sa tête, qui n’est plus blanche,
mais carrément verte, les cheveux… c’était
plus un pétard, mais carrément Hiroshima…, les
yeux grands ouverts, comme indignés, me regarde et sort cette
réplique inoubliable :
« C’est pas moi, j’ai
pas vomi … »
(attention, il faut prononcé : cé po
moa, j’ai ….)
…et il replonge la tête dans la cuvette,
sous les éclats de rire des témoins.
Je vous assure que la gueule qu’il avait, le
ton qu’il a employé, et le ridicule de sa tentative
de mensonge… donnait un cocktail terriblement drôle….
CULTE !!!
Pour finir, on l’a sorti des chiottes alors
qu’il continuait de prétendre qu’il allait très
bien, et il a finit assis sur sa chaise, au milieu du salon, a gerber
dans un sac Champion devant tout le monde… avant qu’on
le ramène, ce qui n’a pas été une mince
affaire (il s’est gerbé sur le bras dans sa voiture)
Pour la petite histoire, l’employeur qu’il
devait rencontrer le lendemain matin, a téléphoné
de bonne heure pour repousser le RDV à un autre jour…
Chanceux le Willy !
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